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If you want to speak about the father, let us speak about the SonJean-François Reix

It is with bewilderment that Nicholas’mother, Katie, learns that her 17-year-old son has not attended classes for a month. She ...

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A cry without appeal – Emmanuelle Borgnis Desbordes

“In the era of the Other that doesn’t exist, modes of enjoyment , are not ordered in the same way. ...

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The Sinthome and the Decline of Patriarchy – Mathieu Siriot

Lacan’s Seminar of 1975-1976, entitled The Sinthome, is entirely devoted to James Joyce, Irish writer of the 20th Century. In this ...

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A memory of Joan Didion – Rosa Vázquez Santos

The Name-of-the-Father as an operator that regulates jouissance is born in Lacan on the side of metaphor and then goes ...

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The semblance, counter-attack of the patriarchy – Céline Poblome-Aulit

By casting doubt on “the primacy of the father, which is supposed to be a kind of reflection of patriarchy ...

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Objection to tyrannie – René Raggenbass

Being as jouissance ? May 1968. The Name-of-the-Father, already well undermined, is defeated. This is the intoxication of the revolution ! Other ...

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The night of the fathers by Gaëlle Josse – Valérie Binard

« In the shadow of your anger, father, I was born, I lived and fled. Today I am back. I arrive ...

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To nobodaddy – Céline Menghi

« William Blake es uno de los hombres más extraños de la literatura. Fue el menos contemporáneo de los hombres. » J. ...

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Of what is patriarchy the name? – Marie-Claude Lacroix

Heading towards Pipol 11, clinicians question themselves, report on various aspects, try to approach elements with clarity. This resembles the work ...

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Edito

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« Si vous voulez parler du père, parlons du Fils. » – Jean-François Reix

C’est la stupéfaction quand Kate, la mère de Nicholas, dix-sept ans, apprend que son fils ne va plus en cours depuis un mois. Elle, qui vit seule avec lui, n’a rien vu venir et sollicite le père dont elle est séparée depuis quelques années. La scène qui ouvre The Son nous montre alors, sa mère, jouée par Laura Dern, sur le palier de l’appartement de son ex-mari, désemparée par le mystère qu’est devenu son fils. Dans ce premier moment, nous ne trouvons aucune visée culpabilisatrice de cette mère perdue. Au contraire, il est une indication sur le ton donné à...

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« Un cri sans appel » – Emmanuelle Borgnis Desbordes

« À l’ère de l’Autre qui n’existe pas, les jouissances ne s’ordonnent plus de la même façon. À défaut de se localiser dans un Autre, on observe une adhésion à des communautés de jouissance, chacune fondée sur un mode de jouir particulier. Le sujet esseulé, voire déboussolé, y trouve à l’occasion une identité ». Ces « communautés de solitaires » ne supportent plus aucun interdit interprété comme manifestation autoritaire. Toutes les formes d’autorité sont associées à un pouvoir de domination virile porté par un père toujours soupçonné d’abus. Pourtant « vouloir faire du père l’unique cible des critiques à l’égard de l’autoritarisme du pouvoir politique...

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Le sinthome et le déclin du patriarcat – Mathieu Siriot

Le Séminaire de Lacan de 1975-1976, intitulé Le Sinthome, est entièrement consacré à James Joyce, écrivain irlandais du XXe siècle. Dans ce Séminaire, Lacan affirme à plusieurs reprises que ce qui a amené Joyce à son désir d’être un artiste, à produire son art, c’est la démission paternelle. Au sein de son œuvre, Joyce a essayé de remédier à la carence paternelle en ne cessant de faire vivre sa propre relation à son père. Joyce croit à l’indignité de son père, il y reste enraciné, et c’est ce qui en fait son symptôme. Citons Lacan : « Joyce a un symptôme qui part...

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Un souvenir de Joan Didion – Rosa Vázquez Santos

Le Nom-du-Père en tant qu’opérateur qui régule la jouissance est d’abord né chez Lacan du côté de la métaphore, puis conçu comme une fonction logique et, finalement, comme un nœud sinthomatique. Dans la clinique et dans le social du XXIe siècle, nous rencontrons ces diverses versions du père, exemples notables de ce qui opère, parmi lesquelles je voudrais évoquer trois écrivains qui se sont servi de l’écriture pour faire bord à un réel situé au-delà du père. Au début du siècle, l’écrivaine nord-américaine Joan Didion a bordé la maladie et la mort de son mari et de sa fille unique avec...

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Christine Angot, l’écriture du réel du père en tant qu’impossible – Stéphanie Morel

En 2012, Une semaine de vacances de Christine Angot est publié au même moment que le Séminaire de Lacan intitulé Le Désir et son interprétation, annonçant le déclin de l’ère patriarcale. Jacques-Alain Miller se saisit de cette contingence, nous invitant à lire ce roman « comme un apologue de notre ras-le-bol du père » faisant comprendre la nécessité de sortir de l’âge du père. Au-delà du péché du père de l’inceste, au-delà de la scène sexuelle présentifiant l’anéantissement du sujet comme le résultat d’une situation sociale dominée par le patriarcat, ce que relève fondamentalement J.-A. Miller, c’est la dimension « paternotrope » du personnage...

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Le semblant, contre-attaque du patriarcat – Céline Poblome-Aulit

En jetant un doute sur « la primauté du père reflet patriarcal », Lacan créait un écart – qu’il est pertinent de maintenir – entre père et patriarcat. Et pour cause, le père de la psychanalyse d’orientation lacanienne mi-dit la façon dont il se débrouille avec sa jouissance. Son dire véhicule un manque, un trou dans le symbolique que le Nom-du-Père a précisément pour tâche de recouvrir avec une certaine souplesse inventive que n’offre pas l’ordre patriarcal. Dans son dernier film, Mon crime, François Ozon dépeint une critique formidable de la lutte contre le patriarcat. Souhaitant à dessein garder la temporalité de la...

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